Source et ressource
mercredi, 16 septembre 2009
Démolition ? !!!! ¿
Par B+B MONC le mercredi, 16 septembre 2009, 17:55
D'après Didier, la démolition d'un premier immeuble est prévue pour l'automne à Beauplan.
C'est à n'y rien comprendre avec ces informations contradictoires !
Dans quel état d'incertitude doivent être les habitants !!!
mardi, 15 septembre 2009
Mise en écho
Par Henri MONC le mardi, 15 septembre 2009, 09:34
Thème donné en exemple par Fabienne : Discours d'expert et démocratie. En écho cette petite phrase de Jacques Rancière : ... ce qui est au cœur de la prati... Citation tirée d'un livre composé d'entretiens et dont le titre me plait beaucoup : "Et tant pis pour les gens fatigués"
Petite ballade sur le site d'épisteme
Par Henri MONC le mardi, 15 septembre 2009, 09:00
Lu l'information de Fabienne.... petite ballade sur internet... Trouvé cet axe de recherche sur le site episteme : La problématique arts et sciences, abordée par le dialogue artiste/scientifique et l'analyse comparative de l'évolution des statuts sociaux de l'artiste et du scientifique. Peut-être faut-il prendre contact avec Olivier Laügt, pour aborder la question des thèmes et en préciser le contenu en fonction du projet Monc...Ce petit mot pour tester ma capacité à me saisir des nouvelles technologies et les compétences pédagogique de Marie-Laure (c'est elle qui m'a donné ma première leçon) Henri
lundi, 14 septembre 2009
Un scientifique ?
Par Fabienne MONC le lundi, 14 septembre 2009, 10:56
Olivier Laügt, agrégé de mathématiques et maître de conférence en sciences de l'information et de la communication à Bordeaux pourrait-il être notre homme ? (je sais c'est encore un homme...). Auteur de Discours d'expert et démocratie et d'un article à paraître "Entre dires de science et dires sur la science". Membre du laboratoire Epistémé http://www.episteme.u-bordeaux.fr/
samedi, 5 septembre 2009
Festival des odeurs
Par Fabienne MONC le samedi, 5 septembre 2009, 09:20
1er festival des savoirs "La novela", Toulouse 13 au 18 oct. "l'odeur est une image comme les autres" avec les sculpteurs d'odeurs Michael Moisseeff et Jacqui Ledresseur
jeudi, 3 septembre 2009
Chaises à Naples
Par Véronique MONC le jeudi, 3 septembre 2009, 10:10
d'abord des souvenirs de vacance,
je suis allée un peu à Naples où on voit des chaises dans la rue partout et de très belles situations:
j'avais pensé faire un petit exercice de reportage non imagé !!!!
Chaises bancs et pas de portes.
-im-MDVL 001.dsc : "c'est une ruelle qui monte pavée de grosses dalles de pierre, dans un cartier populaire il y a un tabouret haut en bois avec entretoise. l'assise est entièrement scotchée en marron il s'appuie contre un petit poteau de trotoir"
-im-MDVL 002.dsc : "on s'approche d'une place arborée au milieu de batiments historiques, elle meme convenablement équipée en place moderne. il y a un banc public habillé d'une housse matelassée en organza vermillon deja déteint par le soleil, fleuri gallonée aux accoudoirs et boulonée à l'assise."
-im-MDVL 003.dsc : "le soir sous la lumière jaune des lampadaires, une chaise de guingois, les pieds en marche. les accoudoirs et le dossier sont cadenassés à un poteau de signalisation d'une rue qui de jour est commerçante."
-im-MDVL 004.dsc : "une chaise de très jeune écolier, assise et dossier en contreplaqué montées sur des pieds verts adossée au mur juste à coté du pas de porte."
-im-MDVL 005.dsc : "une chaise avec les deux pieds arrières dans un pot de géranium suspendu à la fnetre, les deux autres pieds se balancent immobiles au dessus du trottoir."
-im-MDVL 006.dsc : "deux chaises sans assise à 3m de distance l'une de l'autre regardent un mur aveugle."
-im-MDVL 006.dsc :"dans une friche d'après bord de mer, sous un olivier bas, 9 chaises en randonion ( plastique et bois plus ou moins estropiées ) dans la longueur d'un chemin."
pourquoi tout ce texte?
je me demandais ce qui va se passer quand mon design va s'extraire du monde visuel et retranscriptible... je ne crois pas qu'il y ait de partitions pour odeurs ( du moins je suis en recherche..) et dqans tous les cas elle serait réservée à une élite très spécialisée.
dans tous les cas, j'aimerai bi9en m'extraire de l'emprise de l'image.
vendredi, 21 août 2009
palmier en aquitaine
Par Hélène MONC le vendredi, 21 août 2009, 17:58
L'Association Fous de Palmiers est heureuse de participer cette année à la Nuit du Patrimoine organisée dans cette commune de Morizès, pour présenter un végétal faisant aussi partie du patrimoine régional, le palmier, au même titre que nos vieux clochers ou nos vieilles maisons qui gardent la mémoire du temps et des anciennes générations.
Si le palmier devant lequel nous nous trouvons, a été planté là, ce n'est certes pas par hasard. Si les palmiers, plantes exotiques, comme les cèdres du Liban ou de l'Atlas, les magnolias d'Asie, ou encore les séquoias d'Amérique, ont été introduits un jour dans notre douce région du Sud-Ouest dès la fin du XIXè siècle, c'est que profitant du développement des voyages et des perspectives d'expansion économique à l'époque coloniale, des hommes ont cru au futur et sont allés chercher aux quatre coins du Monde les plus beaux arbres qui pouvaient pousser dans notre région, pour les offrir aux générations futures. Ces arbres avaient été choisis en raison de leur beauté, de leur taille et de leur durée de vie exceptionnelles. L'accès direct à la mer par la Garonne, puis par l'estuaire de la Gironde, a favorisé leur importation. Les responsables forestiers soulignent toujours que, lorsque l'on plante un bel arbre, c'est pour faire plaisir surtout à nos enfants et à nos petits-enfants. Ainsi, on peut se réjouir de la haute civilisation dont témoignent de vieux villages comme Morizès : mémoires anciennes, traditions orales, dignités et avant tout ce merveilleux mélange d'obstination et de bienveillance inter-générations.
La mode voulait à la Belle Epoque en Aquitaine, qu'on plante un palmier, dès que naît un fils. C'était aussi pour commémorer le départ ou le retour d'un parent pour les colonies, le passage du Cap Horn pour un capitaine au long cours, comme d'usage sur les côtes bretonnes. L'âge et les hivers rudes des années 80 ont eu raison de beaucoup de palmiers, mais jamais de l'espèce de palmier que vous admirez et que je vais vous appeler " Palmier de Chine " pour vous épargner son nom scientifique plus ennuyeux. Ce type précis de palmier se complaît plus particulièrement dans le Sud-Ouest, parce que le climat l'été y est à la fois chaud et humide. Par contre, il ne craint pas les grands gels exceptionnels, mais réguliers, entre - 12°, comme l'hiver dernier et - 19°, comme l'hiver 1985, ce qui explique que c'est le palmier qu'on rencontre dans tout le Sud-Ouest, du Cap Ferret à la Réole ou de Bergerac à Pau.
Nous avons parlé de Bordeaux, mais à Pau, par exemple, une colonie anglo-américaine fortunée a favorisé l'implantation de ce palmier devant les belles villas, ce qui leur donnait un air de Riviera semblable à celles de Nice, San Remo ou Naples. Cet engouement a donné naissance en 1898 à la palmeraie face à la gare de Pau, encore visible aujourd'hui...
Philippe DUHAMEL
lien : http://palmiers.chez.com/contrib/nuit_patr.php
mardi, 18 août 2009
Métisse
Par B+B MONC le mardi, 18 août 2009, 16:10
Métisse : isolant fait de vêtements usagés et de fibres sociales
Le Relais, réseau d'entreprises à but socio-économique spécialisé dans la collecte, le tri et le recyclage des vêtements, fondé par une communauté Emmaüs au début des années 80, face à la chute de la qualité de la confection textile, a du repenser le réemploi des vêtements issu de ses collectes.
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lundi, 17 août 2009
Histoires d'odeurs
Par B+B MONC le lundi, 17 août 2009, 18:36
Andy Warhol
Institut Supérieur International du Parfum, de la Cosmétique et de l’Aromatique Alimentaire Versailles
L’ISIPCA est la seule école au monde à ce niveau d'études regroupant un enseignement des techniques de formulation des parfums, des produits cosmétiques et des arômes alimentaires, des cours d'éducation sensorielle olfactive, gustave et tactile, une formation sur les matières premières et un approfondissement de la chimie et des techniques d'analyse spécifiques de ces secteurs d'activités.
Le parfum a son musée Pour un parcours initiatique à travers l’histoire du parfum du 16ème siècle à nos jours, rendez-vous au château de Chamerolles (45). A ne pas manquer : l’orgue à parfum et ses 270 senteurs.
Château de Chamerolles, 45170 Chilleurs aux bois. Tél. : 02.38.39.84.66 Du mercredi au lundi de 10 à 12h et de 14 à 17h.
… diffuseur d'odeur de plastique dans les sièges pour rappeler l'état neuf de la voiture après des années ...
Des urines et des odeurs attractifs synthétiques en cannette aérosol. Plus vrai que nature, ces produits pour le chevreuil à multiples usages sont indispensables pour les chasseurs. Minuterie de 8 positions de 1 minutes à 4 heures, c'est à dire si vous voulez diffuser l'odeur désirée dans votre territoire, vous n'avez qu'à programmer la minuterie. Diffuseur d'odeur.
Odeur disponible: urine femelle en chaleur, odeur de pomme, odeur d'anis et vanille, urine de mâle chevreuil.
Virtual Cocoon est le nom d’un casque de réalité virtuelle présentant des fonctions avancées. Non seulement il utilise les sens habituels de l’ouie et de la vue mais il rajoute en plus l’odorat via un système de diffuseur d’odeur et les sensations thermiques avec un système de ventillation envoyant de l’air à différentes températures. Le système servirait à des visites virtuelles de lieux prédéfinit. Le prix estimé équivault à plus de 2.100€.
L'odeur iodée de la mer, celle du foin coupé ou le parfum d'une rose bientôt le "web parfumé" ne relèvera plus de la science-fiction. Plusieurs sociétés développent aujourd'hui des technologies qui vont permettre la diffusion d'odeurs sur Internet. En France, des chercheurs de France Télécom R&D en partenariat avec la société Ruetz Technologies et l'ISIPCA ont mis au point un dispositif qui prévoit que l'ordinateur de l'internaute reçoive en même temps que la page web (celle d'une jardinerie, par exemple) un "code d'odeur" qui lui est associé.
Ce code est pris en charge par un logiciel de pilotage, qui le transmet par radio à un diffuseur d'odeur de la taille d'un baladeur placé autour du cou de l'internaute : c'est le dispositif Sniffman de Ruetz Technologies. Cette "boîte à odeurs" contient pour l'instant 64 types de parfums différents. Elle en proposera 200 à terme. En fonction du signal reçu, Sniffman sélectionne l'odeur correspondante, la chauffe pour la vaporiser et la diffuse sous le nez de l'internaute ! Aux Etats Unis, la société Digiscent a développé le iSmell, un petit boîtier synthétiseur d'odeurs, à brancher sur l'unité centrale et contenant 128 essences de base.
lundi, 10 août 2009
Espace public et temps
Par B+B MONC le lundi, 10 août 2009, 12:15
Duett 1999 Francis Alÿs
"Sur la chemise d'Alÿs est inscrite la lettre A, sur celle d'Honoré D'O la lettre B. Chacun transporte avec lui la moitié d'un tuba hélicoïdal, et ignore la localisation de son compère dans la ville. La marche dure le temps que les deux artistes se retrouvent — soit deux jours et demi — pour réunir les deux parties de l'instrument, souffler dedans et produire un seul son. Le geste accompli, chacun repart de son côté. À la manière d'une filature, Duett (Duo, 1999) transforme la marche en un jeu de piste dont le but est une rencontre éphémère qui produit un événement fugace, évanescent, qu'aucun document visuel ne pourra vraiment fixer : un geste qui se dissout dans les rues aussitôt apparu, qui résonne un bref instant avent d'être à tout jamais perdu, illustrant la définition de la ville que propose l'artiste : "Dans ma ville tout est temporaire." Et s'il est question de faire une carte de cet éphémère, cela n'équivaut pas à le maîtriser, mais plutôt à se situer dans son évanescence, dans sa mobilité, à l'accompagner." "Marcher, créer" Thierry Davila Ed. du Seuil
vendredi, 7 août 2009
Espace privé — espace public
Par B+B MONC le vendredi, 7 août 2009, 22:56
Home Run on 54th st. at MoMA . Gabriel Orozco - Oranges installées sur des verres 1993 Courtesy Marian Goodman Gallery, New-york
… une série d'oranges posées sur des verres translucides disposées derrière des bow-windows, à l'intérieur des différents étages d'une demeures privée située en vis-à-vis par rapport au musée d'art moderne de New-York. Pour construire ce dispositif, l'artiste a écrit aux habitants du lieu en leur proposant de poser ces fruits à leur fenêtre, chez eux, de les installer suivant ses indications. S'ils acceptaient, des oranges fraîches leur étaient données toutes les semaines par le MoMA. Cette sculpture si ténue et si active, si discrète et pourtant si vive, conjugue remarquablement attention et mouvement, perception et dérive : seul celui ou celle qui marche dans la rue ou dans le musée en étant suffisamment observateur peut discerner cette construction volontairement installée comme un signal ou comme un appel, destinée à atteindre le regardeur dans son déplacement et peut-être même l'arrêter dans sa marche tel un punctum. Elle est un agencement privé, ouvert sur l'espace public, dont la perception, l'identification relève d'un acte individuel, un édifice humble, voire dérisoire, accompli par un geste banal … qui se contente d'être là, de faire acte de présence et d'attendre, du haut de sa discrétion, que le piéton témoigne de son existence."
"Marcher, créer" Thierry Davila Ed. du Seuil
Performance en façade
Par B+B MONC le vendredi, 7 août 2009, 22:13
Interface
Par B+B MONC le vendredi, 7 août 2009, 22:00
Container Mall, 5th Ave. and 42nd St, New York
Neuf niveaux de containers empilés forment une typologie improvisée pour ce centre commercial. Le projet tire parti de la qualité inhérente de ces containers standards qui peuvent se placer aisément dans des espaces laissés vacants de la ville. Chaque container est une cellule autonome du marché urbain. Dans la configuration de l'angle de la 5e avenue et de la 42e rue , c'est l'ondulation des containers qui anime et dynamise la façade. Des enchainements de passerelles, escaliers et escalators relient, en plein air, l'élévation des containers et le mur du bâtiment adjacent. Chaque container provient de lieux différents et particularise les échanges et circulations d'air, de lumière et de vues.
en détail
Espace public et temps
Par B+B MONC le vendredi, 7 août 2009, 21:00
Nous transmettons une phrase envoyée par Hélène,
phrase trouvée au gré de ses lecture et qui l'interpelle :
"Un espace ne se vit pas tant qu'il n'est pas traversé par une durée. Un espace public est un espace relié à la ville par la mémoire ou l'imagination"
"Speech bubbles" de Philippe Parreno
Parcours, pistes, traces
Par GUsto MONC le vendredi, 7 août 2009, 14:09
Exemples d'interventions graphiques dans la ville.
L'idée serait de trouver une forme juste qui pourrait être à la fois une création autonome, un objet de communication, un lien entre les différents projets MONC, un parcours urbain.
le tag au sol | le tag à l'echelle de la ville
Scotcher la ville, les gens, l'évènement ?
exemple 1 | exemple 2 | exemple 3
jeudi, 30 juillet 2009
Entrée de serrure
Par B+B MONC le jeudi, 30 juillet 2009, 22:17
Considérant l'espace public un, il est des relations entre ce lieu public et les moults autres revendiqués privés{de quoi ?} - un objet drastique : la serrure. Qu'elle soit encloisonnée, façon allemande (cf ci-dessous empreintes de trous de serrure pour clé -en fonte- d'armoire de ce pays) ou façon Paris, qu'elle soit Normande, auberonnière, à plaquer, à larder têtière bureau ou laiton ou classeur sinon de bibliothèque ou à gorge, voire trois gorges, la serrure se joue de la privatisation de certains lieux qui, ainsi, se retrouvent contraints, en fait, par un dessin, pour un dessein, la multiplication des gorges pouvant en être considérée comme le syndrome. Ces énigmes graphiques distribuent tout autant l'accès à un espace grand comme une boite à chaussure qu'à un territoire vaste comme le père Ubu y aspirait.
Les portes
Par B+B MONC le jeudi, 30 juillet 2009, 21:51
Danser avec les portes
“ …… J’adorais danser le rock. Quand les cavaliers faisaient défaut, je me rabattais sur une porte, une autre. Je la saisissais par sa poignée, je l’obligeais à tourner sur ses gonds, à m’accompagner, je sautillais, je tourbillonnais vers une autre que j’empoignais de même et recommençais mon trépidant manège. Bien sûr, faute de partenaire qui m’eût fait virevolter, les passes étaient réduites, mais j’aimais tant me démener sur ce rythme du rock-and-roll que longtemps j’ai dansé avec les portes.
Et, à dire vrai, cela m’arrive encore …… “
extrait de Une enfance marocaine Anne Bragance ACTES SUD
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